En 2015, jai craqué sur la bourse du JAO à Saint Denis de l’Hôtel, en la voyant à côté de sa jumelle restaurée. C’est une P55GTS de 1951. Je pensais qu’elle intéresserait mon plus jeune fils, passionné de moto.
Il est effectivement venu la voir, m’a confirmé qu’elle serait remise en route sans difficulté, mais n’était pas du tout motivé.
Elle est donc restée à l’abri au fond de mon hangar.
En cette fin d’année 2020, je me suis dit qu’il n’était pas raisonnable de garder autant de véhicules, et j’ai donc mis en vente ceux que j’étais sûr de ne pas restaurer.
Elle a été vendue dans la journée et a fait le bonheur d’une jeune passionné.